Les imprévus, les imprévus… Ils ne sont jamais les bienvenus. Parfois dramatiques, toujours fâcheux, ils bousculent notre routine et nous ébranlent. Mais les pires imprévus sont sans doute ceux qui se produisent juste avant Noël.
Pour lire la nouvelle de Danielle qui illustre un imprévu, cliquez sur ce lien: Imprévu.
C’est beau, tu écris tellement bien!
À la prochaine!
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Merci pour ce rappel de l’impact de nos actions!
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C’est très réaliste comme situation et très bien écrit, cela porte à réfléchir sur les conséquences des gestes posés
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Vraiment cette nouvelle ou ce chapitre est tellement prenant. Tu écris à merveille, le goût de continuer est toujours présent. Bravo. Continue…
Ginette Ledoux, grande tante d’sabelle xx
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hello Danielle, comme j’ai eu plaisir de te lire, c’est accrocheur, intéressant, facile à lire, hâte de connaître la suite de l’histoire. Ta podologue Danielle.
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Merci à vous tous pour vos commentaires. Un beau cadeau pour l’auteure!
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Je crois avoir tout lu Danielle. Normal, je suis son voisin d’en bas. Ce dernier texte m’a laissé sur ma faim, c’est vrai, mais c’était sans doute dans l’intention de l’auteure de tendre une perche à son lecteur, puis de la lui retirer afin que ce dernier puisse par lui-même poursuivre au gré de son propre imaginaire. Aussi loin qu’il le voudra bien. N’est-ce pas là un peu l’art de la nouvelle?
Tous mes compliments, Danielle, et merci pour le bon moment que je viens de passer.
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Je crois avoir à peu de choses près lu tout Danielle. Normal, je suis son voisin d’en bas. Je me permets tout de même de vous confier un secret: elle travaille beaucoup. C’est sans doute là une des raisons de son succès. À part, bien entendu, son solide coup de plume.
Sa dernière nouvelle m’a comme laissé un peu sur mon appétit. On pourrait penser que l’auteure a laissé en plan son héros en nous permettant de mettre nous-mêmes un point final à l’histoire. Peut-être bien. Ce genre littéraire qu’on appelle «nouvelle», ne serait-ce pas un peu ça? Dans le cas présent, nous pourrions, par exemple, faire mourir le cadre d’un infarctus bien mérité. De même qu’on pourrait le laisser tout bonnement se suicider. Qui sait?
Qu’il aille au diable! Moi, je me contenterai d’envoyer des fleurs à Danielle qui les a bien méritées.
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Les fleurs sont magnifiques! Merci Gaétan pour tes encouragements et tes bons mots.
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